Tuesday, February 21, 2006

RPK2006 no 2

1. Introduction

Face à l’enjeu de la durabilité du développement et de la croissance des activités humaines dans notre monde, la communauté des savoirs francophones se sont intrigués par les nombreuses questions sur l’horizon de la politique pour l’apprentissage de la langue. Les fameuses énnoncés de la « communauté des savoirs » et « nouvelles connaissances sur l’économie et la technologie » s’impose en effet de certains contraintes de FLE tel que l’affaiblissement du nombre des apprenants, le glissement du pouvoir linguistique et la modification des critères du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL).

Aujourd’hui, les apprenants sont abordés à la critère de CECRL et de NTIC dans un nouveau champs auto-didactique de la langue. D’autant plus que le nombre de nouveau apprenant du Français pour leur première ou deuxième langue montre faible croissance du à l’abaissement de la population, et que la tendence global d’anglicisme relié à l’avancement de notre modernité, science et technologie, ne cesse pas intensifier pour l’intérêt de mondialisation, il semble que la critère de CECRL définisse son intérêt territoriale sur le marché de la langue beaucoup plus limité, probablement par une considération stratégique.

Néanmoins, très peu des arguments sont adressés à la question de la scientificité de la sphère francophone, notamment au terme de « Science et Société » en rapport de la techno-économie qui ne cesse pas à croitre ses chiffres d’affaires industrielles et ses relations intellectuelles dans le context nippono-français.

Cette sphère, ainsi y compris la communauté des savants entièrement internationales, félicitent littéralement cette année 2005, la commémoration de Jules Vernes, et la naissance de la théorie physique de la relativité du mouvement d’Einstein. Les fruits de la science moderne fleurissent dans notre ère de 21eme siècle. La commémoration de cette année, à partir de la théorie d’Einstein, avait deux sens pour le Japon.

L’un s’appuye sur celle de 60eme année de la retombée de l’énergie atomique à Hiroshima et à Nagasaki, qui a été réalisée à l’issue d’un grand projet américain de Manhattan, remontant à libération de l’énergie nucléaire en rapport de matière-énergie. L’autre est celle, dont les gouvernements français et japonais ont reconnu la concurrence mondiale techno-économique au sujet de l’ITER. La décision a été prise en faveur de la constuction du site du développement en France pour un fameux réacteur de la fusion nucléaire.

Les arguements abordés à ces sujets sont assez peu nombreux, tandis que de plus en plus les japonais profitent de la sphère accroissante et enrichissante de la zone économique entre le Nippon et la France. Pourtant, le sujet de la politique de la langue et de la techno-économique sur ces pays n’apporte guerre d’ignorance dans notre ère de mondialisation de tous au profit de globalisation.

La forte concentration des débats s’incarnent au seins des corps executifs de la décision politique, l’auteur essaye de révéler une approche aux divers thème de débats s’imposant la citoyenneté concernant la politque de la science, en tant qu’un instructeur auto-didactique du FLE, ainsi qu’un enquieteur en recherche de la politique de « Science et Société ».

Je suppose que cette défaut de balance de la « Science et Societé », représenté par les cas d’entre J.V. et ITER dans FLE auprès de AMP2005, est symboliquement une cause de lacune de transdiciplinarité dans FOS scientifique. Ici, je propose de parcourir de voir l’éclat des unités de FOS dans le concept de filières LA, ES et ST, et d’essayer de voir comment aborder les langages de l’apprenant pour harmoniser cet éclat et adresser les parôles à la synthèse de cet ensemble.

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