Thursday, April 12, 2007

Question Réponse sur le colloque 02.04.2007

Prof. Xavier Greffe
cc: Mr. Silvano Serventi

Bonjour

Je vous recontacte et je vous remercie pour la conférence d'hier "La politique culturelle de
la France" par Prof. Xaiver Greffe.

Depuis hier, je pense que la question de mobilité des gents, y compris la mobilité géographique
et la mobilité de carrière professionelle, et de la transformation du parcours vocationel d'une à
l'autre n'est pas vraiment explicitement addressé à la conférence, j'aimerais poser ma question
d'une autre manière.

Sous le contexte de la politique européenne de la gouvernance des cityones, je résume le point de conférence suivant; la primauté de décentralisaiton 1) en France, mise en oeuvre et la gestion de la culture 2) par le projet contractuel, ainsi planification budgetaire par la communauté régionale 3) delivéré du responsable central, les charges de l'emplois et le développement de la région 4).

Ce sont les axes pluriels venant de divers dimension de la transformation de la société, comme
avait remarque le prof. Greffe, je suis d'accord sur cette perception. Le point que j'aimerais révéler, c'est le point commun de la politque de l'UE qui sont obsevable quasiment dans toutes les branches; augmenter la productivité ou renforcer la compétence internationale, bref, la question de la créativité relié au système économique de la région.

Sur ce point, la politique de l'UE mets l'impératif de la mobilité régionale et le croisement des
différentes cultures, donc, les points que le prof. Greffe a mentionné sont tout à fait raisonable
pour expliquer et justifier le raisonement de l'implication politique de la culutre.

Pourtant, la question comment proceder ce processus de la diversité culturelle me reste encore
intacte pour répondre qui vont être transformé par cette politique ? Les artistes, les gens dans
l'engagement vocationel en train de mutation, le secteur industriel qui nécessite hybridation
des technique et des cultures, les actuers dans l'autonomie de la région etc .. ?

Pour aborder à cette quetion, j'ai référé à un exemple de programme LEONARDO, qui est en fait le programme européen pour la transformation de la diversité culturelle à l'étape de vocation, plus interdisciplinaire que d'autre programme comme SOCRATE ou ERASMUS qui sont en effet le programme de l'échange des élèves scolaires.

De suite, j'aimerais vous demander vos avis sur ces points;
1) Est-ce que je m'aborde bien optimal à la question de créativité suivant le colloque de
prof. Greffe ?
2) Si c'est oui, qu'est-ce que vous pensez sur mon observation ?
3) A mon avis, le programme LEONARDO pourra être beaucoup plus élargi pour comprendre
la diversité culturelle et la créativité en Europe, alors, oû pourrai-je adresser cette approche de
mon observation et de la votre ?

Pour mentionner le programme LEONARDO, je refère aux informations suivant;

Italie Leonardo
http://www.programmaleonardo.net/
http://www.unibo.it/Portale/Relazioni+Internazionali/Tirocini+all+estero/leonardo.htm
http://www.unitn.it/internazionale/leonardo_da_vinci.htm
http://www.leonardo.unifi.it/
http://www.unipd.it/programmi/leonardo/leo.html
http://www.leonardopisa-francigena.unipi.it/
http://www.unibg.it/struttura/struttura.asp?cerca=studioestero_leonardo_intro

Espagne Leonardo
http://www.gipe.ua.es/leonardo/
http://www.uca.es/web/internacional/leonardo/
http://www.uab.es/servlet/Satellite?cid=1096481175112&pagename=UAB%2FPage%2FTemplatePageLevel2StandardMenu
http://www.ua.es/es/presentacion/vicerrectorado/vr.alumnat/sec.practicas/Leonardo/intro.html

Germany Leonardo
http://www.uni-bonn.de/Internationales/Auslandsstudium/Praktikum.html
http://www.zsi.at/de/projekte/laufend/tw/list
http://www.wtb.tu-berlin.de/career/leonardo.htm
http://www.sokrates-leonardo.de/
http://www.nvf.cz/leonardo/defop

La formation en distance pour les citoyens
Italy : NETTUNO
http://www.uninettuno.it/
Germany : Univ. Hagen
http://www.fernuni-hagen.de/
France : CNED
http://www.cned.fr/
Spain: UNED
http://www.uned.es/


Si vous pouvez lire ce message et me répondre avec vos suggestions et commentaires, je vous
remercie pour prendre votre temps.

Bien cordialement
Shingo Hamada



Lundi 2 avril 2007 18 h salle 601
  • en français,
    avec traduction
Conférence : « La nouvelle gouvernance de la politique de la culture en France : maintien des finalités, changement des instruments »
  • Xavier GREFFE, Université Paris I
  • Co-organisation : GRIPS, Ambassade de France

Thursday, February 23, 2006

RPK 2006 no 4

3. L’étude des conceptions
Ce n’est non seulement la France qui reconnait la célebration de l’Année Mondiale de Physique 2005 (AMP 2005), mais il est aussi mondialement félicité. AMP 2005 a pour le but de partager la commémoration sue la théorie physique de relativité du mouvement d’Einstein, à partir duquel une fameuse énoncé d’équivalence de la matière à l’énergie est élaboré au niveau pratique de l’expérimentation physique. Sur ce point les futuribles scientifique francophones ont été ambiguie en deux facettes. L’un derrier l’ombre de AMP 2005, le moment de 100ème année de Jules Vernes, le père de savoirs futuro-scopiques, l’autre triomphé en compétition internationale de la décision finale du site de l’ITER, un programme répandu de conversion de la matière nucléaire à l’énergie.
Au contraire, le Japon est un autre pôle de la compétition de l’ITER, qui connait au niveau national la 60 eme année de retenticement de libération de l’énergie atomique. La conscience des scientifique ainsi que des politiquement concernées ne fait plus de concentration que sur la compétition mondiale de l’année 2005 sous l’ombre de hiroshima et nagasaki. J’ai présupposé que les deux partenaires auraient pu s’intéresser l’un à l’autre sur le point commun de l’invention de l’énergie en fertilisant la disscusion qui est derrier le projet expériemntal, mais ce n’était pas le cas.
Depuis la convention bilatterale franco-japonaise, les ingénieurs et les scientifiques sont suffisamment échangé entre ces deux pays, mais, il semble que peu de débat argumentative ont été concernée à l’échange des sciences. La primauté des savoirs scientifique et l’impérative de l’avancement technologique, c’est la raison pour laquelle le FOS filière scientifique profite de son contexte énonciatif plus que le débat argumentatif. Mais, l’actualité de la sphère scientifique ne correspond plus à la réalité de discours relatif au choix de la science et de la technologie. L’affaire de l’ITER est un tel exemple de choix technologique, mais aussi du sens scientifique, on pourrait discuter par rapport à AMP 2005 et Jules Verne. Pour faire cela, quelle tactique d’enseignement on pourra attribuer à FOS scientifique ? Voyons les discussions sur le plateau virtuelle, les débateurs sur l’internet, le NTIC est le clès technique pour donner la solution, c’est-à-dire, l’approche d’enrichir la transversalité et la pensée critique.
3.1 La démarche
Le cours s’agit d’abord de collecter les informations officielless sur AMP 2005, Jules Verne et ITER. Les apprenants sont invités à bien saisir le sens de chaque évenement et y comparer l’un à l’autre. En suite, nous les guiderons à découvrir la terminologie spécifique dans les articles, comme « Principe de mouvement », « Relativité », « Energie chinétique », « onde et particule », « méchanisme de fusion » etc. Chacun essaye de expliquer ces terminologies d’après la description tenu dans le dictionnaire. Suivant l’approfondissement de ces terminologies, les apprenants sont guidés de distinguer les mots qui sont exprimable ou inexprimable à la limite de connaissances scientifique.
Par exemple, on connait déjà que la particule consiste en substance miniscule au delà de diz puissance moin neuf à quinze metre. Mais la différence entre le proton et le neutron portera sans aucun doute une difficulté pour la comrehension globale, ce qui n’est pas explicable dans le langage ordinaire. Pourtant la libération de l’énergie par la réaction des particules pourra être familialisé pour ce qui ne connais pas exactement le méchanisme physique de fusion, alors que l’émission de rayon gamma ou neutron est assez difficile à concretiser la comréhension par la lecture. La force forte, la force nucléaire, l’énergie de colle, tous sont exprimable dans les langages ordinaires. De point de vue scientifique, e ne sont que les constats, l’histoire de recherche, au plus au moin l’interprétation socio-culturelle de la discipline physique.
Les apprenants vont s’intéresser plus de saisir par sa propre interprétation l’impact socio- économique de ces évenements que des contenus précises de projet, car la validation en histoire et la valorisation de recherche, l’assessment de l’impact socio-économique est un gros intérêt pour ceux qui veullent comprendre le sens de ces évenement. Or, ceux-ci ne sont jamais un simple acte d’émmetre sans référence l’opinion des individues, mais il consite à attribuer les divers opinions de façon à reformuler le consenssus sur un telle découvert scientifique et sur tel choix technologique.

3.2 Le développement
Pour faire avancer la discussion, il faut introduire les évenements sociaux. Les apprenants sont intéressés par les sites d’internet de projet ITER pour la manifestation internationale http://www.iter.org et http://www.itercad.org pour la présentation francophone. Celui de AMP 2005 se trouve régionalement un peu partout en France, or la zone francophone n’a pas créee de site en englais, le site international est http://www.wyp2005.org/. Les sources d’actualité de Jules Vernes sont assez limitées dans la zone francophone http://www.julesverne.fr/ , mais n’empêche que les amateurs créent les pages différemment.
L’auteur organisait la navigation comparative de lecture sur ces sites, et a essayé de stimuler la discussion, mais jusqu’à présent je n’ai pas eu de succès. Pourtant, j’aimerais ici envisager de donner le principe stratégique de navigation d’un point de vue auto-didactique. L’objectif de cette lecture comparative est d’introduire la transversalité multi-disciplinaire, mais il faut établir l’étape de démarche de FOS et de VGOS (Vocabulaire Général pour Objectif Spécifique).
Il faut introduire auparavant les termes génériques « mesure du temps et d’espace », « fusion nucléaire », « conservation et conversion de l’énergie et de la matière », et après dans l’étape de FOS, les vocabulaires spécifiques sont introduits comme « mesure du temps et de espace », « équation de schrödinger », « le critère de l’incinération Lawson ». Comme la notion de « typologie de discours » est développée dans la didactique de FOS (*6), il faut bien distinguer les plusieurs typologies de discours de « vulgarisation et de semi-vulgarisation », « la publicité, déstiné aux instances décisionnelles ou aux institutions officieles », et « pédagogique, de la thèse et du mémoire ».
Ci-dessous je montre la typologie des divers discours concernant les issues de discussion, Iter, AMP 2005 et Jules Verne, selon lesquels les thèmes de l’énnonciation et de compréhension transversalle par le voie de résumé, compte-rendu et synthèse pourront être proposé.

Tuesday, February 21, 2006

RPK2006 no 3

2. L’analyse et l’approche

Nous voyons maintenant l’éclat de trois filières, LA, ES et ST dans le FLE. Le parcours de l’évolution méthodologique des années 1960-1970 s’inscrivait de développer les conceptions de la langue et de l’apprentissage sous différentavec angles de pratique, nottament de la notion de SGAV (Structuro-Globale Audio Visuel). (*) Ceci consiste à définir la compétence linguistique en plusieurs sortes, bien entendu, avec les critères de la sélection de contenues lexicaux, grammaticaux, ainsi avec les critère de progression en fréquence, simplicité et productivité. Tous cela se conduis l’évolution des manuels, comme « De vive voix », « C’est le prentemps » des années 1970, jusqu’aux exemples de « Archipel » et « Cartes sur Tables » élaborés sous angle de « l’Approche Cognitive » des années 1980.

(*) fascicule 3 : Evolution méthodologique, M.L. Chalaron, F. Daziniere et J.L. Faure

Cette élaboration fondé sur la méthode SGAV a abouti alentours des années 1990 à créer une série des manuels NSF (Nouveau Sans Frontières). Ces manuels consistent à cinq tomes, dont les premières trois sont fidèls à la méthode SGVA, tandisque les derniers deux consistent à guider les apprenants dans les domaines de litterature et arts (tome 4), et économie et science technologie (tome 5). D’après, aucunes manuels de la langue française, sous la mention de FLE, n’attend pas à ce volume, lorsque l’approche de auto-didactique « apprendre à apprendre » sont beaucoup plus proliféré dans les étapes d’apprentissage relativement plus basses. Néanmoins, ces derniers deux tomes de NSF sont considéré à fournier la notion de perfectionnement, notamment sur la piste d’innombrable lecture, de haute niveau littérarement et culturellement, avec la mention de lecture analytique et critique, mais aussi de l’écriture plus exigeant sous la forme de résumé, comte-rendu, et synthèse. Bref, ceci dit que le NSF est un seul qui s’ouvre à la voie de compétence linguisitique au niveau de baccaloréat.

Après NSF, les plusieurs manuels ont été élaboré sous cette influence, « Espace », « Nouveau Espace » et « Libre Echange » (goupe A) durant les années 1990 - 1995. Ensuite, les autres manuels se sont rendu accéssible, « Panorama », « Café Crème », « Tempo » et « Reflet » (goupe B), qui y montre clairement la pertinance de la reproductivité sous un angle compormentaliste de l’aquisition des langues. D’autant plus, les apprenants sont invités à acceder les manuels plus récents, bien à l’aise de l’apprentissage initial de la langue française, « Forum », « Studio 60/100», et « Campus » (groupe C).

Ici, la tendence entre les gourps A, B, et C, est suffisamment claire, c’est de manière qu’on puisse avancer les unités d’étude et plus vite possible terminer les chaques unités. On pourrait aussi échanger et alterner les unités d’étude de l’un à l’autre, ceci est une conséquence raisonable de la limite des temps et des ressources pour l’apprentissage des adultes.

Pourtant, ces tendences ont causé une manque de perfectionnement au niveau de contenu scientifique, ce qu’on remarque la lacune des compétences parmi les LA (Littérature et Art), ES (Economie et Sciété) et ST (Science et Technologie), dont j’ai schématisé cette lacune sur le figure 1.

Ce n’est guerre la polémique de l’enseignement supérieur ni de fle, mais ceci est recemment remaqué comme défaut de compétence littéraire, c’est-à-dire la preuve que on ne lis moins en moins et que la compétence de la lecture et de l’écriture ctitique abaissent, bref, les apprenants et les instructeurs de la langue s’identifie sur le marché de langue enseigné.

Mais le problème qui se pose ici, c’est l’adaptation de la méthode de FLE à la notion de l’hamonisation du CECRL. Non seulement les concernées du FLE mais aussi l’enseignement supérieur hexagone se confrontent à nombreuse questions de la compétence critique et de reproductivité en langage, nottament pour la pratique de dissertation au niveau de bac. Ainsi suite, ces problèmes se posent dans la formation continue des adultes, de façon que la primauté de la pensée critique doivent se trouver dans la pratique de dissertation et de l’analyse discursifs.

Je montre ici un exemple d’évaluation par les étapes de lecture et écriture, dont les parchemin respective A, B pour NSF et Campus sont illustré dans le figure 2. Sur l’axe horizontal est l’exercise par écrit, sur l’axe vertical est l’exercise par oral. Ici, je place le point de départ « O », lequel correspond à texte d’origine proposé dans chaque unité d’étude, et je prospose le point d’arrivée « X », lequel correspond à notre but, d’engager la pensée critique à aboutir concretement sous style de résumé, compte-rendu et synthèse.

Les apprenants sont invités à partir du point « O » pour arriver au point « X », alors qu’ils s’habitue d’avancer progressivement par l’oral et par l’écrit. Une simple combinaison de l’oral et de l’écrit se trouve dans la compétence énnonciative, qui est indiqué de haute-gauche à bass-droit, alors que les parchemins de bass-gauche à haut-droit, plus au moins complexes, se trouve dans la compétences argumentative et discursive. Le lien entre deux unité de l’orale-écrit est une voie transversale, et en gros, les manuels de « Campus » se touve énnonciative relativement moin de ce lien transdisciplinaire, et d’autre part « NSF » se trouve argumentative, plus riche de ce lien trasdisciplinaire.

C’est la raison pour laquelle, les apprenant d’aujourd’hui se confronte à difficulté de s’exprimer la richesse de langue de soi-même, à cause de la lacune de transdisciplinarité.

Est-ce que c’est grave, cette lacune de transdisciplinarité ? Si c’est grave, c’est face à quoi ? De plus en plus que le monde devient petit, et en revenche de cette modialisation, la sphère francophone se contente à limitter la richesse de sa langue, face à l’abaissemnt de nobmre des apprennants dans le monde entiers, sous le contraint de développement durable ? Apparamment la réponse n’est pas seulement de l’ordre logique, mais elle est aussi de l’ordre de diversité culturelle, qui permettra aux apprenants d’acquérir la richesse de culture. Dans la chapitre suivante, je vous amène à quelle point peut on envisager d’acquérir la richesse de transdiciplinarité française.

RPK2006 no 2

1. Introduction

Face à l’enjeu de la durabilité du développement et de la croissance des activités humaines dans notre monde, la communauté des savoirs francophones se sont intrigués par les nombreuses questions sur l’horizon de la politique pour l’apprentissage de la langue. Les fameuses énnoncés de la « communauté des savoirs » et « nouvelles connaissances sur l’économie et la technologie » s’impose en effet de certains contraintes de FLE tel que l’affaiblissement du nombre des apprenants, le glissement du pouvoir linguistique et la modification des critères du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL).

Aujourd’hui, les apprenants sont abordés à la critère de CECRL et de NTIC dans un nouveau champs auto-didactique de la langue. D’autant plus que le nombre de nouveau apprenant du Français pour leur première ou deuxième langue montre faible croissance du à l’abaissement de la population, et que la tendence global d’anglicisme relié à l’avancement de notre modernité, science et technologie, ne cesse pas intensifier pour l’intérêt de mondialisation, il semble que la critère de CECRL définisse son intérêt territoriale sur le marché de la langue beaucoup plus limité, probablement par une considération stratégique.

Néanmoins, très peu des arguments sont adressés à la question de la scientificité de la sphère francophone, notamment au terme de « Science et Société » en rapport de la techno-économie qui ne cesse pas à croitre ses chiffres d’affaires industrielles et ses relations intellectuelles dans le context nippono-français.

Cette sphère, ainsi y compris la communauté des savants entièrement internationales, félicitent littéralement cette année 2005, la commémoration de Jules Vernes, et la naissance de la théorie physique de la relativité du mouvement d’Einstein. Les fruits de la science moderne fleurissent dans notre ère de 21eme siècle. La commémoration de cette année, à partir de la théorie d’Einstein, avait deux sens pour le Japon.

L’un s’appuye sur celle de 60eme année de la retombée de l’énergie atomique à Hiroshima et à Nagasaki, qui a été réalisée à l’issue d’un grand projet américain de Manhattan, remontant à libération de l’énergie nucléaire en rapport de matière-énergie. L’autre est celle, dont les gouvernements français et japonais ont reconnu la concurrence mondiale techno-économique au sujet de l’ITER. La décision a été prise en faveur de la constuction du site du développement en France pour un fameux réacteur de la fusion nucléaire.

Les arguements abordés à ces sujets sont assez peu nombreux, tandis que de plus en plus les japonais profitent de la sphère accroissante et enrichissante de la zone économique entre le Nippon et la France. Pourtant, le sujet de la politique de la langue et de la techno-économique sur ces pays n’apporte guerre d’ignorance dans notre ère de mondialisation de tous au profit de globalisation.

La forte concentration des débats s’incarnent au seins des corps executifs de la décision politique, l’auteur essaye de révéler une approche aux divers thème de débats s’imposant la citoyenneté concernant la politque de la science, en tant qu’un instructeur auto-didactique du FLE, ainsi qu’un enquieteur en recherche de la politique de « Science et Société ».

Je suppose que cette défaut de balance de la « Science et Societé », représenté par les cas d’entre J.V. et ITER dans FLE auprès de AMP2005, est symboliquement une cause de lacune de transdiciplinarité dans FOS scientifique. Ici, je propose de parcourir de voir l’éclat des unités de FOS dans le concept de filières LA, ES et ST, et d’essayer de voir comment aborder les langages de l’apprenant pour harmoniser cet éclat et adresser les parôles à la synthèse de cet ensemble.

RPK2006 no 1

FLE contribution Science Communication

M.Shingo Hamada * (Affiliated Fellow)

FLE Univ. Grenoble III – CNED

Science Technology Foresight Centre/National Institute of Science Technology Policy

Ministry of Education, Sports, Culture and Science Technology

2-5-1 Marunouchi, Chiyoda-ku, Tokyo Zip 100-0005, JAPAN

E-mail : sh_ugr3@yahoo.fr

Le Title :

FOS filière scientifique face à l’Année Mondiale de la Physique 2005 :

Joules Verne, derrière Einstein et ITER ?

Résumé :

Il s’agit de l’étude sur la méthodologie évolutive de FOS filière scientique des manuels de la langue des années 1980 – 05. En tant qu’un inscrit à la formation d’auto-didactique linguistique de FLE, l’auteur analyse de l’approche des apprenants de promouvoir dans différentes méthodogies de FLE au critère de Cadre européen (CECRL) – notamment l’arguement des scientificités, de l’humanité techno-sociale, et du développement durable vu par la notion de « Science, Communication et Société ». Cette étude s’adresse d’une part à la vulgarisation des sciences et des techniques dans la sphère francophone.

Mots clès :

FLE (Français Langue Etrangère), CECRL (Cadre européen commun de référence pour les langues), SCS (Science, Communication et Société), vulgarisation des sciences et technologies, STS (Science, Technologie et Société), scientificité, communauté des savoirs.

Le plan

1. Introduction

2. L’analyse et l’approche

- l’éclat de LA, ES et ST dans le FLE. (shéma 1)

- Science et Société en Europe et en France (shéma 2)

- les acteurs de STS (shéma 3) pour la vulgarisation et la prolifération

3. L’étude des conceptions

- Propostion de la solution : trans-diciplinarité dans le FOS scientifique

- critère : HPST, SCS, Veille technique, NTIC

- l’étude des cas avec les critières

4. La conclusion

Monday, February 20, 2006

coucou test

La Formation du FLE pour les filères scientifiques et techniques
- Une reflexion pour la méthode
de la vulgarisation scientifique -